Certaines personnes le savent, j’ai quasi toujours rêvé de voyager en Asie.
Et un jour est entrée dans ma vie un ange brune, qui avait comme plus grand amour le Japon.
La vie a fait que nos chemins se sont confondus pendant plusieurs mois et que nous en avons profité pour découvrir ensemble Hong Kong (et Macao) que nous rêvions toutes deux de découvrir. Nos petits amis de l’époque de notre rencontre ayant entre autres en communs de trouver cela une mauvaise idée, et bien nous avons décidé après nos ruptures de se faire le bonheur de partager cette découverte ensemble.
Elle travaillait en agence de voyage et nous a donc fait un programme plus que parfait et trouvé des hôtels dignes des princesses que nous étions (et sommes devenues des reines depuis 😉 ).
Bon si je dois restez moi-même et donc totalement honnête un des rares points noirs fut le concierge de notre 1e hôtel, qui m’a hurlé dessus au lieu de répondre à mes demandes : ahah le pauvre deux femmes qui voyagent ensemble et veulent se déplacer en transport il ne comprenait pas).
Ce séjour a chamboulé ma vie à bien des égards….
Car il m’a fait découvrir des parties de cette femme que je ne soupçonnais pas mais surtout sur moi-même.
Cette ville qui est celle de tous les contrastes a été l’un de mes plus grands coups de cœur de ma vie.
J’ai tout de suite été en amour avec tout : les marchés traditionnels comme les grands magasins très modernes, les temples au milieu des énormes grattes ciels, les églises magnifiques, la ville en accord avec les traditions comme les restaurant gastronomiques végétariens (il n’y en avait pas en France à l’époque) ; et puis bon ne nous voilons pas la face ce fut surement la destination où nous avions le plus explosé le budget shopping : vêtements pour elle et moi (nous étions précurseuses du matchy matchy avec des corps très différents), des cosmétiques coréens pour lesquels je lui ai fait parcourir toute la ville, des thé si fantastiques, de la porcelaine avec cette couleur dont la traduction est couleur de l’eau après la tempête, des souvenirs pour nos proches…
Nous avons aussi passé des heures à faire des randonnées dont celle nommée Dragon Back faite un jour nuageux qui restera un merveilleux souvenir. Cette impression de marcher réellement comme sur le dos d’un dragon entourées des nuages a été magique.
Saviez-vous que dans le concours du plus grand building, une banque a des buildings faits en modules pour les « déménager » et utiliser l’emplacement alors libéré pour y mettre un nouveau bâtiment encore plus imposant ?
ET vous une ville coup de cœur ? Une destination de voyage de rêve ?
En ce samedi, à nouveau (comme la semaine dernière avec mon pschit magique), une recette plus que simple et que j’utilise plusieurs fois par semaine : mon « adoucissant » maison.
Cette semaine la recette est encore plus simple mais demande de la patience.
Comme beaucoup d’entre vous le savent, je fais ma lessive maison depuis de très nombreuses années. J’ai donc aussi arrêté d’acheter de l’assouplissant.
Hors comme beaucoup de personnes la sensation odeur de frais me manquait. Du coup, comme il est impossible d’utiliser des huiles essentielles j’ai cherché une autre solution. (oui les huiles essentielles sont des huiles donc non missibles dans l’eau) La solution est simple : du vinaigre dans lequel « infuser » l’odeur de votre choix.
Du coup ici, j’ai des versions à la lavandes et d’autres aux agrumes (citron, orange, clémentines). Pour les préparer rien de bien compliqué : * un peu de lavandes dans un bidon rempli de vinaigre blanc ménagé (ici je réutilise les bidons d’eau déminéralisée), * laisser infuser au moins 3 mois (ici j’essaie d’attendre 6 mois), * et voilà ! Pour les versions aux agrumes, je mets les écorces (sans pulpe : juste l’écorce « nue » donc si vous les récupérez après un jus il faudra les nettoyer).
Je dois avouer que c’est ma recette la plus simple.
Et vous ? Des astuces toutes simples mais très utiles ?
J’ai décidé cette semaine de vous proposer une boutique que je trouve idéale pour le père Noël.
Pour être honnête le nom ne m’avais pas séduite. les personnes qui me connaissent savent que tout ce qui est « féminin sacré » me fait sortir des boutons : je ne crois pas à une binarité de genre (ni que mes cycles hormonaux soient une bénédiction) loin de là….. Du coup le nom avec Venus me donnais pas envie de fureter.
Mais Montreuil est un village et la gérante de Phoenix (mais si vous savez la boutique de glisse dont je vous ai parlé ici) m’a parlé plusieurs fois de cette boutique.
Du coup intriguée je me suis mise à la suivre sur les réseaux sociaux. Puis un jour j’ai franchi la porte pour un 1e achat puis un 2e et de fil en aiguille c’est souvent là que je vais chercher des cadeaux.
Ce qui me plait ?
Que des produits de « petits » créateurs-trices mais aussi la marque de la propriétaire : de jolis objets dans un esprit bo-bo : des bougies, des bijoux, des vêtements, des attrape rêves…. et un esprit lithothérapie avec des bougies et parfums utilisant des pierres semi-précieuses regarder moi cela.
Il y a une table avec les pierres et leurs vertus :
Mais aussi des merveilles pièces uniques en quantité ultra limitée :
Aujourd’hui cela fait 4 ans…. que j’ai commencé à me reconstruire et adapter ma vie.
Il y a 4 ans, le 5 décembre 2016, j’allais à mon bureau, dans un société à Boulogne B. Après une mission qui m’a apporté énormément au sein d’un laboratoire français très connu j’étais au siège en ce que l’on nomme « inter mission », c’est à dire que j’aidais des collègues qui y travaillent en permanence en attendant d’avoir soit une autre mission au sein d’un laboratoire soit des projets à moi (et donc rester au siège).
La veille j’avais travaillé tard pour un rendu et ce matin là je pars en scooter sur ce trajet que je connais parfaitement après avoir fait un arrêt à mon bureau de poste. (c’est peut-être pour cela que j’aime vraiment pas devoir y aller encore aujourd’hui.)
A partir de là c’est le trou noir – total black out !!!
Mes souvenirs ne recommence que de nombreuses minutes après : je suis sur le trottoir d’une banque en face d’un grand magasin parisien très connu, appuyée sur mon scooter, et des passants me proposent du sucre.
Un homme arrive et me hurle dessus et m’insulte (de toutes ses insultes que les femmes ont entendu beaucoup trop de fois) et il se met à me menacer de me faire la peau si je prévient la police au moment où j’accepte le sucre proposé par les gens.
Je me revoie calmement demander à un des passants d’appeler les pompiers « car je n’ai aucun souvenir ce qui n’est pas normal » et « j’ai mal dans la nuque et la nausée ». (à ce moment là je suis en train d’ouvrir le top case pour écrire un mail à mes collègues pour prévenir que je risque d’être en retard à notre réunion de début d’après-midi car j’ai eu un accident… et oui à chacun-e ses réflexes 😉 )
L’homme repartira (évidement) avant l’arrivée des pompiers.
Les pompiers à leur arrivée diront aux passants de partir alors que je disais vouloir leur contacts.
La suite ? Nous passons de longues minutes dans une ambulance sur ce boulevard passant ou les bruits de véhicules me créent des angoisses que je ne comprends pas. Puis les pompiers me disent avoir noté l’identité du chauffeur/chauffard qui serait revenu. Ils me conduisent aux urgences de cet hôpital à proximité de cette gare ou j’empruntais durant ma thèse des trains 3 jours par semaine.
Cette tête c’est la mienne quelques heures après mon arrivée aux urgences alors que je ne réalisais pas ce qui se passait du tout. (elle m’avait été demandé par des proches s’inquiétant site à un SMS envoyé aux personnes avec lesquelles je devait interagir dont ma roommate)
Je vais donc passer de nombreuses heures aux urgences et faire de nombreux examens avant d’enfin sortir (et bénir ma roommate qui m’apporte une petite collation). Mais, sans ambulance, il me faudra prendre en taxi pour me retrouver ce soir là face à mes 4 étages sans ascenseur avec une jambe droite qui refuse de se plier…. et d’un coup réaliser ce qui va m’attendre : tout réapprendre mais surtout adapter ma vie. J’ai réappris des choses simples comme attraper des objets, écrire (que ce soit avec un stylo, un clavier sur le téléphone), marcher, monter et descendre des marches, mais surtout j’ai appris sur moi.
J’ai d’abord réaliser la violence de l’accident :
J’ai aussi dû faire face à un refus de plainte du commissariat en charge de l’enquête de l’accident alors qu’une copine m’y accompagnait pour leur rapporter les insultes et menace du chauffeur. (Mais ce n’est pas là ni le premier ni le dernier refus de plainte de ma vie)
Quand mon scooter est arrivé au garage pour que l’expert l’inspecte, j’ai reçu un appel du chef d’atelier (qui entretien mes véhicules depuis de nombreuses année qui m’a informée que l’on voyait la trace de pneu de voiture sur la jante avant de mon véhicule), j’étais donc au téléphone à écouter ce professionnel m’expliquant que l’on m’a littéralement roulé dessus et de « ne surtout pas forcer (ma) mémoire » car il faut respecter ce black-out et ne pas m’infliger cette violence à nouveau. Il m’a aussi conseiller de vite parler à un psy pour décharger.
J’ai choisi donc de soigner mon corps (avec de nombreux rendez vous avec une rhumatologue et surtout mon merveilleux kiné/osthéo/masseur du sport et ses mains en or) mais aussi mon esprit (suivant le conseil de mon garage) afin d’apaiser la tornade de sentiments d’injustice que cet accident et ses suites ont créés en moi.
Après plus de 100 séance de rééducation, j’ai eu le droit de rependre le sport en douceur. A peu près à la même époque j’avais pu soigner la plus part des traumatismes de ma vie, appris à accepter que je puisse être en colère et surtout trouvé une thérapeute qui me corresponde et ainsi avoir découvert qui je suis.
Aujourd’hui encore mon corps n’est plus celui qu’il était (les confinements n’ont pas aidé) que ce soit dans son apparence ou ses capacités mais depuis je l’aime des milliards de fois plus que avant car c’est le mien et qu’il abrite une personne qui a de sacrée belles qualités (bien que totalement imparfaite). Alors oui j’adorerai récupérer cette silhouette mais tout cet amour envers moi-même est la plus belle chose que la vie m’ait offerte.
Voilà un morceau de ma vie en espérant que vous y lirez un message d’espoir et que nous sommes capables de choses immenses !! Alors croyez en vous !!
Il va y avoir des épreuves qui semblent infranchissables mais vous y arriverez et surtout n’oubliez pas que l’on est jamais seul-e alors regarder autour de vous qui pourra vous apporter l’aide nécessaire.
Cette semaine, continuons le cycle des samedi recettes maison avec un de mes indispensables que j’utilise très souvent (tout comme mon astuce blanchiment de la semaine dernière) : mon pschitt magique.
Je l’utilise tous les jours : pour un petit coup sur une table après avoir mangé, pour un nettoyage de la cuisinière, pour nettoyer les plans de travail, pour le ménage de la salle de bain mais aussi pour passer un coup sur les vitres et les miroirs…. et tant d’autres utilisations.
La recette est très simple :
Il vous faut dans un récipient qui puisse vous permettre de pulvériser, du vinaigre blanc du liquide vaisselle et de l’eau.
Il faudra le remplir à un tiers avec du vinaigre blanc,
puis y ajouter une grosse cuillère a soupe de produit vaisselle et compléter avec de l’eau. ET voilà !
Vous serez pret-e à affronter le calcaire et la graisse 😉
Mon petit plus ? J’utilise du vinaigre dans lequel j’ai fait macérer des écorces d’agrumes (pendant plusieurs mois). Ici étant adepte des jus d’orange maison, quand c’est la saison je prépare donc des bidons avec les écorces que je rempli de vinaigre qui du coup prend leur odeur.
En effet, je déconseille d’utiliser des huiles essentielles dans les produits d’entretien. Non seulement celles-ci peuvent être nocive pour les enfants et les femmes enceintes mais surtout ce sont des huiles donc elles ne se mélange pas à l’eau.
Et vous quel est le produit que vous utiliser le plus ? Avez vous une super recette qui est cotre chouchoute ?
Je ne sais pas vous mais personnellement j’aime beaucoup la période des fêtes de fin d’années.
Mon arrière grand mère aimait faire des petites choses décoratives et odorants à cette période : oranges piquées de clous de girofle (aussi appelé pomme de senteur …. alors qu’il n’y a pas de pomme) et des guirlandes d’orange.
Je vais aujourd’hui vous livrer ma recette de cette dernière.
Il vous faudra donc des agrumes : oranges, clémentines, mandarines c’est à vous de faire selon vos gouts. Il vous faudra aussi de la ficelle pour en faire des guirlandes. Vous pouvez utiliser de la cordelette de cuisine, du sisal, de la corde de jute, faite aussi selon vous gouts et ce que vous avez. L’idée ici c’est de faire maison et sans (trop) de frais donc avec ce que vous avez. Vous pouvez aussi prévoir des étoile de badiane, des bâtonnets de cannelle, même des chips de pomme….
Il va donc falloir d’abord préparer des tranches d’agrumes et pour cela les sécher au four : Cela n’est pas difficile et cela demande surtout de la patience. Le plus agréable sera que cela va parfumer tout voter logis :
1- Préchauffez votre four à 75°C (si chaleur tournante) – 90°C (sinon) 2- Lavez vos agrumes et coupez-les en tranches très fines.
3- Déposez-les de préférence sur une grille ou sinon sur une plaque de cuisson recouverte de papier
4- Enfournez et laissez sécher : vous pouvez compter au oins 2h de cuisson. N’hésitez pas à les retourner au bout d’une heure de cuisson. A la fin de la 2e heure de cuisson regarder l’état pour prolonger ou non le séchage. Dès que les tranches brunissent vous pourrez les sortir.
Difficile de prédire la durée car elle dépend de combien celle ci sera épaisse et votre fruit sera juteux. Il vous faudra des tranches bien sèches pour pouvoir les assembler.
Il sera alors temps de passer à l’assemblage en guirlande :
Si vous avez un aiguille ce serait l’idéal. Mon arrière grand mère passait de la ficelle de cuisine (vous savez celle utilisée pour attacher les rôtis) dans une aiguille à gros chat.
Puis elle traversait l’aiguille en « haut » et « bas » :
Je pense qu’une photo est plus claire.
Si vous n’avez pas d’aiguille ou une corde « trop » épaisse, vous pouvez utiliser un couteau pour percer la tranche aux 2 extrémités puis y passer la corde.
C’est donc l’instant d’assembler votre guirlande selon voter envie : vous pouvez alterner grandes tranches et plus petites et y intégrer vos étoiles de badiane, bâtonnets de cannelle, tranches de pomme si vous en avez prévu.
Voici le résultat de celle faite cette année :
Et vous ? vous aimez les fêtes de fin d’année ? Des habitudes ? Des rituels à cette période ? Des envies particulière en cette année un peu particulière ?
Nous avons initié le cycle créatrice/boutiques chouchou avec Phoenix puis La Baita, passons à une créatrice douée de se doigts mais qui fait des objets utiles dans nos salles de bain : Cockatoo & Co
C’est une adorable créatrice qui confectionne des produits d’hygiène et de soins écologiques de qualité. Je lui ai commandé il y a maintenant plus d’un mois des lingettes pour visage.
Après un mois d’utilisation, elles sont toujours toutes douces (après donc de (très) nombreux lavages en machine)
J’utilise des lingettes pour me démaquiller et nettoyer le visage matin et soir depuis de nombreuses années (une dizaine). J’utilisais jusque présents (celle dans la boite vitrée) provenant de Les Tendances d’Emma. Elles sont toujours utilisables mais commencent à être usées. A force de frottements, le tissus a maintenant sa trame visible :
Du coup, j’ai voulu tester une créatrice française et suis tombée sur celle-ci qui propose des lingettes démaquillantes, des masques, de l’Essuie-tout, et des lingettes bébé. Je trouve ses tarifs plus que raisonnables.
Malheureusement, le modèle que j’avais commandé n’a pas pu être réalisé car la créatrice n’avait plus le tissus nécessaire. Elle a été à l’écoute de ma demande et a de suite proposée une alternative qui est parfaite dans ma salle de bain. Dès la réception j’ai été très agréable surprise : la qualité est magnifique, les finissions parfaites et je trouve ce format un peu plus grand plus agréable lors de l’usage.
Très sincèrement je ne peux que vous la conseiller et en cette période d’approche des fêtes de fin d’année c’est le site idéal pour faire plaisir à vos proche (ou vous même).
Et vous des outils du quotidien issue de créatrice de génie ?
Cette semaine commençons donc le cycle des samedi recettes maison comme promis
Je vous propose de vous partager l’astuce pour le linge que j’utilise les plus souvent.
Comme mes proches pourront vous le dire j’aime énormément le blanc (pour mes vêtements comme le linge de maison) et cela demande de l’entretien : que ce soit pour éliminer les tables et luttes conter le ternissement.
Pour ce faire et depuis quasi toujours utilises la même astuce qu’utilisaient ma grand mère et mon arrière grand- mère : le percabonate de soude.
La méthode est simplissime :
Vous doutez ?
Je peux comprendre voici donc la preuve en images :
voici un essuie main qui a subit son triste sort :
je le place dans dans une bassine avec 2 grosses cuillères à soupe de percarbonate de soude (et une autre serviette un peu ternie) :
Je verse dessus de l’eau très chaude(ici de l’eau bouillante) :
Après on laisse agir ….
Si la « saleté » ou le jaunissement est installé depuis un moment, n’hésitez pas à laisser tremper toute la nuit.
Et voici le résultat :
une fois sec :
Petit supplément : le percabonate permet aussi de raviver les couleurs (d’où la serviette bleue sur ces photos) 😉
La semaine dernière nous avons initié le cycle créatrice/boutiques chouchou avec Phoenix :
Cette semaine, parlons d’une marque que je suis depuis de nombreuses années (une dizaine) et dont j’ai plusieurs pièces dont certaines sur mesure.
Cette terriblement douée créatrice de maroquinerie parisienne a créé une marque parisienne du nom de La Baita.
Dès ses début (après une première carrière dans un domaine proche de celui de mon activité), elle porte un soin particulier à la provenance de ses matériaux : cuir de qualité magnifique venu de tanneries françaises, fermoirs vintages, doublures rapportées de ses voyages…. Tout est pensé et choisi avec un soin méticuleux.
Cette « Maroquinerie de luxe sur mesure fabriquée en France » a un atelier dans le 20ème arrondissement de Paris, et le label « Fabriqué à Paris » pour vous offrir des créations artisanales variées : sacs, pochettes, et accessoires en cuir pleine fleur haut de gamme.
A noter le site propose une partie outlet et une sélection à prix doux pour les bourses qui pourraient avoir un budget limité.
Il y a aussi la possibilité d’offrir une carte cadeau pour les lutins de Noël qui seraient hésitants et ainsi offrir un objet personnalisable par son destinataire. Je trouve que c’est là une idée vrai jolie de cadeau en cette période de fêtes de fin d’année.
Qu’en pensez-vous ?
Êtes vous sous le charme ?
(images issues des réseaux sociaux de la marques car les modèles que je possède ne sont plus en vente …. mais peut-être les verrez vous sur mon insta 😉 )
comme annoncé sur Instagram, je vais vous livrer tous les samedi des recettes maison;
Commençons par un récapitulatif des recettes déjà partagé et si je les utilise toujours :
Ma lessive au savon noir : est disponible ici et toujours utilisées pour mes draps, serviettes et autre linges de maison.
Ma lessive au savon de Marseille ou d’Alep : est disponible ici et toujours utilisées pour mes vêtements et sous-vêtements.
Ma « routine » ménage du week-end vous avait été partagée en aout 2014 elle n’est quasi pas changée si ce n’est qu’avec maintenant 2 chattes, maintenant en plus je passe un coup de balai serpillère (avec du sanitol oui je confesse que ce n’est pas super écolo).
Par contre, mon nettoyage du micro onde a changé : maintenant je met un bol avec le jus d’un demi citron (et je bois l’autre moitié au réveil 😉 ).
le petit monde de laly 